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_uacct = "ua-324340-1"; urchintracker(); découvrez cette année découvrez cette année retour à la paged'accueil le pays des eaux minérales les locomotives à vapeur le pays de l'or le pays des eaux minérales vous cherchez un thème pour votre tour en roumanie ? en voici un, peut-être moins habituel, mais approprié pour la visite d'un pays comme la roumanie : un tour de dégustation des eaux minérales. historique des chemins de fer     les premières lignes de chemin de fer sont apparues en roumanie pour le transport des minéraux, du charbon et de marchandises : 1854, oravita – bazias (dans le sud-ouest du pays), 1860, cernavoda – constanta, 1869, bucuresti – giurgiu. ce ne fut donc pas un hasard que ces trois lignes étaient reliés à des ports, comme bazias, cernavoda et giurgiu se trouvant sur le danube ou constanta port à la mer noire. toujours en 1869 d’autres lignes sont inaugurées en moldavie , en valachie et , en 1875 aussi en olténie.              aux débuts, la société roumaine des chemins de fer utilisait des locomotives importées dans les pays européens, dont la belgique. la première locomotive pour écartement normal est construite en roumanie en 1928 et à partir de 1930 la production intérieure suffisait aux besoins de tractation du réseau, ce qui a fait que les importations n’étaient plus nécessaires.             en 1935 le parc de la sncfr était composé de 2859 locomotives de 40 séries différentes             entre 1925 et 1960 on a construit en roumanie, dans les usines de bucarest (malaxa et puis 23 août) et resita, un nombre de 1202 locomotives dont 6 séries pour voie  normale (vn) et 2 séries pour voie étroite (ve) , notamment pour les voies dans les montagnes et les exploitations forestières ou de minéraux : série resita bucuresti total 230  vn 139  91 230 142 vn 36 43 79 50 vn 266 254 520 150 vn 282   282 131 vn 67   67 151 vn   2 2 704  ve 2 20 22 total 13séries 792 410 1202             en 1960 le production de locomotives en roumanie a cessé et les usines de resita, de bucarest ainsi que la nouvelle usine de craiova ayant déjà commencé la production de locomotives diesel et électriques.             la dernière des locomotives à vapeurs a été celle avec le numéro de fabrication 3398 de 196o, de la série 150.282  faite à resita, locomotive qui est exposée dans la collection du dépôt de ploiesti. a partie de 1960 on a commencé de remplacer les locomotives à vapeurs sur le réseau de la sncfr. les dernières locomotives à vapeurs, utilisées sur quelques lignes secondaires et dans quelques manœuvres de petites gares, ont été retirées en 1980. musées et excursions             la première tentative d’organiser un musée pour les anciennes locomotives en roumanie date du 10 juin 1939 lorsque fut inauguré le musée des chemins de fer roumains à proximité de la gare du nord de bucarest. ce musée avait dans sa collection quelques pièces rares dont : la locomotive orléans 1886, la locomotive lespezi 001 pour écartement 1000 mm utilisée sur la ligne crasna-husi, la locomotive 597 hersche – sohn casel 1887, la locomotive 683 tighina –bayer manchester exploitée sur la ligne constanta - cernavoda et bucarest – chisinau (actuellement en république de moldavie), la locomotive 142.057 des usines malaxa-bucarest. lors du bombardement allié du 4 avril 1944 sur la capitale, tous ces pièces ont été détruites.             en roumanie il y a deux musées de locomotives et trois collections : le musée de resita, le musée de sibiu, les collections se trouvant dans les dépôts de locomotives de dej, ploiesti et iasi.             dans le patrimoine de la sncfr il y a actuellement 4 locomotives à vapeurs et 30 voitures de ière et iième classe, pour bagages, restaurant, salon, de poste (transformés en voitures-bar), en parfait état malgré leur âge qui parfois est centenaire, utilisées sur commande pour les trains « nostalgie » à l’usage de groupes de touristes : la locomotive 150.025 dans une série construite dans les usines resita et malaxa-bucuresti entre 1944 et 1960 . se trouve dans le dépôt de ploiesti ; la locomotive 142.044 faisant partie de la série 142.000 construite entre 1937-21940 à resita et bucuresti. se trouve dans le dépôt arad ; la locomotive 230.224 se trouvant dans le dépôt de sibiu ; la locomotive 231.065 de la série construite entre 1913 et 1917, se trouvant à sibiu.             la sncfr organise des trains « nostalgie » sur plus de 30 trajets différents en roumanie . parmi les routes les plus pittoresques notre office national roumain de tourisme à sélectionné : cliquez sur la carte pour un agrandissement brasov – intorsatura buzaului, 36 km, traversant la région de la courbure des carpates ; oravita-anina, 33 km, une route dans les monts de banat, près de la frontière yougoslave, qui compte 143 courbes, 14 tunnels, 10 viaducs et 89 passerelles ; campulung moldovenesc – vama - moldovita, 36 km, dans la région du nord-est du pays, connue pour ses nombreuses monastères aux fresques extérieures ; turda-abrud, 93 km, écartement étroit, dans les carpates occidentales, accompagnant la vallée de l’aries, puis traversant des régions pleines de défilés, zones ethnographiques, des zones de nature sauvage ; targu mures – band – mihesu de campie, 36 km, écartement étroit ; sibiu – agnita, 58 km ; pascani – targu namt, 31 km. la société pour l’administration des actifs ferroviaires  ( societatea de administrare active feroviare ),  bd. dinicu golescu nr.38, bucarest, 1er arrondıssement,  téléphone 223.06.60 ou 223.08.80,  organise sur demande des balades en trains d'époque, sur le réseau ferroviaire roumaın avec écartement normal. les voitures et les locomotıves sont des exemplaires  construits entre  1921 et 1948.  quelques suggestıons de chemıns de fer proposés par cette socıete pour les amateurs de voyages en vieux trains : - bucuresti – snagov, 16 km, trajet qui vous conduit au bord du lac de snagov, avec sa zone d'agrément et son monastère, en passant par mogosoaia avec son château au bord du lac homonyme; - oravita  - anina , 33 km, une route a travers un relıef montagneux avec une successıon de nombreux tunnels construıts entre 1860 et 1865; - suceava – vatra dornei, 116 km, un trajet quı passe par des localıtes de référence pour les attraits tourıstıques de la regıon de la moldavie du nord : ciprian porumbescu localité natale du compositeur roumain, gura homorului avec son monastère, vama et ses ateliers de poterie, campulung moldovenesc; - salva ( près de nasaud) – viseu de jos, 61 km, le long de la vallée de la salauta, vous entrez dans la région centrale du maramures, avec ses vıllages typıques connus pour le travaıl du bois. chemın qui peut être prolonge jusqu'a sighetul marmatiei sur encore 57 km; - deva – brad, 36 km, vous entrez dans les carpates occidentales, avec leurs paysages magnifiques et dans une regıon connue pour ses artısans du boıs et ses ancıennes exploıtations d'or. a la station termınus, vısıtez le musé de l'or (voir plus bas)  - pitesti – curtea de arges, 38 km, une région ou la constructıon d'un chemın de fer fut des plus dıffıciles, un chemın qui vous conduira vers le coeur des carpates méridionales avec des paysages étonnants, d'anciennes gares uniques pour leur architecture, villages typiques et au bout, un très ancienne ville, notre laeken a nous. - pitesti - campulung muscel , 55 km, après avoir quıtte les collines de pitesti encore un chemın fantastıque qui vous faıt entrer des les carpates merıdıonales  et toute une série d'attractıons en route. a 5 km, le vignoble de stefaneşti et ses excellents vins blancs . puis mioveni avec les usınes dacia-renault fondées en 1968 symbole de la cooperatıon franco-roumaine.vısitez également le monastère de vierosi dans le vıllage de fagetu (1571), une jolie maison paysanne fortifié (cula).  schitu golestı avec l'église de l'ancıen ermıtage du vıllage de valea pechii. et fınalement, campulung muscel, une vıelle vılle, l'une des ancienne capıtales qui se sont succédées dans le temps, de la principauté de valachie; - sinaia – brasov , un classıque des routes tourıstıques en roumanıe avec deux points forts : sinaia, ancienne resıdence d'été de la famılle royale roumaine et son château, et brasov, ancien bourg médiéval, connue ville tourıstique. voici les catégories de traıns qui sont dısponibles : moldovita – 5 voitures avec12 places en 1ere classe, 24 en 2eme classe et 32 en 3eme classe; nostalgia – 4 voıtures construites entre les deux guerres, avec une voiture a bagages, un wagon restaurant,  42 en 1ere classe et 56 en 2eme; brasov – 4 voitures construites entre  1936 et 1939 par les usines "e. breda" de milan et "unio" de satu mare, voıture de posta, voıture “salon royal” utılısee par carol  ii, roı de la roumanie, 2 voitures reconstruites, une voiture a bagages, total 64 places en 1re, 2eme et 3eme classes. des trains sur lignes a écartement etroıt sont également en servıce pour les groupes de voyageurs sur des trajets de 20 a 30 km et plus : ramnicu valcea - monastère de bistrita, targul mures – lechita ; targul mures – mihesul de campie ; targul mures – sovata bai ; turda – abrud; sibiu – agnita . revenir au début un musee de l'or dans la contree de l'or  un gisement d'or, considéré comme le plus important d'europe, viens d'être découvert en roumanie, à rosia-montana; , localité située dans les pittoresques carpates occidentales. ce gisement contiendrait plus de 250 tonnes d'or et 1.370 tonnes d'argent disséminés sur une surface de 20 km carrés. les travaux d'exploitations sont engagés part une société roumano-canadienne qui prévoit de commencer l'exploitation d'ici deux ou trois ans.  depuis le temps des romains, deux activités ont occupé les fiers roumains montagnards de la région des carpates occidentaux : l'exploitation du bois dans les vastes forêts couvrant les montagnes et... l’exploitation des minerais. dans les foires de fin de semaine, dans tous les villages de la région, vous pourrez admirer et acheter les objets d'usage ménager les plus divers : couverts,  fourchettes, cuillères, assiettes, ainsi que du  mobilier rustique fait entièrement de bois,... cette nouvelle découverte relancera l'activité minière qui s'était un peu ralentie les derniers temps à cause de l'épuisement des gisements. il y a pourtant un témoignage vivant de cette longue et prospère activité, vieille de 2000 ans: le musée de l'or de brad. vers la fin du 19e siècle, quelques ingénieurs et techniciens des mines de la région ont commencé de rassembler ce que les gens d'ici appèlent " des leurs de mine", dans le but de les exposer pour la joie de ceux qui n'étaient jamais descendus dans les profondeurs où ils se trouvent. c'est ainsi qu'il y a plus de 100 ans qu'est né le musée de l'or de la localité. la collection s'est sans cesse élargie avec de nouvelles pièces de la région mais aussi avec des dons des autres régions minières de la roumanie et aussi de l'étranger. réorganisée en 1972 le musée de brad présente en même temps l'évolution des outils de travail qui ont servi à l'exploitation des métaux précieux depuis les temps les plus reculées jusqu'à nos jours. des pièces en or massif, crée par la nature, étonnent par leur beauté et la ressemblance avec des objets, animaux ou végétaux. le musée présente aussi une exceptionnelle collection minéralogique: diamant, jaspes, agathes et saphirs, topazes, émeraudes. on y trouve aussi de minéraux très rares, découverts en roumanie comme le tellure (1782), le sacarambite (1878), le silvanite découvert tout près (en 1842), l'andorite (1892), le monsémite (1963). a notre connaissance il y a deux musées de l'or dans le monde, très loin l'un de l'autre. celui de brad en roumanie et celui de bogota en colombie. brad se trouve à 36 km de deva ou 431 km de bucarest sur la dn 76. la localité est accessible aussi par train. la localité est un parfait point de départ pour les randonnées dans les carpates occidentales, la découverte des innombrables grottes et vallées de la région et des villages typiques des montagnards retour arad  revenir au début
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